Nous sommes plus de 9 millions d’anciens malades de la Covid-19 en France. Nous sommes guéris, immunisés et non contagieux. Nous demandons la reconnaissance de notre statut immunologique spécifique et le rétablissement de nos droits et libertés.

 

Paris, le 24 avril 2021

 

ASSOCIATION DE DEFENSE DES DROITS ET LIBERTES DES ANCIENS MALADES DE LA COVID-19

Association déclarée à la Préfecture de Police le 23 avril 2021 sous le numéro W751260699

 

L'Association a pour objet de:

- Défendre les droits et libertés des anciens malades de la COVID-19 en mettant en avant l'immunité naturelle qu'ils ont acquise contre cette maladie.

- Démontrer que les anciens malades sont bien guéris, qu'ils sont immunisés durablement, ne sont pas contagieux et ne présentent par conséquent aucun danger pour leur entourage et pour la société. 

- Exiger qu'ils puissent immédiatement reprendre leurs activités habituelles et circuler et voyager librement. 

 

ARGUMENTAIRE ET DEMARCHE

 

L'Association demande aux autorités d'accorder un statut spécial aux anciens malades de la COVID-19 qui sont maintenant immunisés et devraient pouvoir circuler librement.

 

Si cette demande est acceptée elle peut avoir des conséquences bénéfiques non pas seulement en France mais dans le monde entier, notamment dans les pays pauvres qui n'ont pas les moyens d'acheter les énormes quantités de vaccins dont ils ont besoin pour protéger leurs populations.

 

En prouvant que les anciens malades de la COVID-19 sont bien guéris et immunisés -- avec un niveau de protection au moins égal à celui des personnes vaccinées -- on peut faire économiser des sommes d'argent considérables à ces pays pauvres qui abritent des centaines de millions d'anciens malades dont beaucoup ont été infectés puis spontanément guéris sans même le savoir. 

 

La seule chose qui nous console un peu de la COVID-19 est que les cas graves allant jusqu'au décès ne représentent "que" 3% du nombre total des infections confirmées. Il y a eu et il y a encore beaucoup de malades, et il y en aura de plus en plus. Mais il y a aussi beaucoup de guéris, et il y en aura de plus en plus. 

 

C'est à ces anciens malades qu'il faut éviter un "acharnement vaccinal" potentiellement risqué (surcharge immunitaire) et inutilement coûteux. Les personnes les plus vulnérables qui ont le plus besoin d'être vaccinées, sont celles qui n'ont jamais été malades de la COVID-19.

 

Un moyen simple d'identifier les guéris est de leur faire un test sérologique pour détecter la présence d'anticorps. Encore plus simple, comme en Israël et au Danemark, tous ceux qui, il y a trois mois, ont été testés "positif" à un test virologique (prouvant qu'ils ont été infectés, même sans présenter de symptômes), sont maintenant considérés comme guéris et immunisés sans avoir besoin de subir aucun autre test, ni virologique ni sérologique. Ces personnes sont considérées comme ayant guéri spontanément, parfois à leur insu (malades asymptomatiques). Elles figurent parmi les 97% de "chanceux" qui ont surmonté la maladie et en sont naturellement immunisées.

 

Dans les deux pays cités ci-dessus qui pourraient un jour servir de modèle au reste du monde, les personnes guéries sont autorisées à circuler plus ou moins librement et à reprendre peu ou prou leurs occupations habituelles, au même titre que les personnes vaccinées.

 

Le mot clé pour remettre le monde en marche en toute sécurité est "immunité". Cette immunité peut être obtenue soit spontanément en contractant naturellement la maladie et en guérissant, soit par la vaccination qui est une approche intelligente imaginée par l’homme pour prévenir la maladie. 

 

Il y aura certainement un débat pour savoir laquelle des deux formes d’immunité est plus efficace, plus rassurante et plus durable que l’autre.

 

Le bon sens nous fait pencher vers l’immunité naturelle. Comme la fabrication et l’administration d’un vaccin ne sont qu’une ingénierie pour créer une réplique de l’immunité naturelle, on ne peut pas s’attendre à ce que la copie surpasse l’original au niveau du résultat final

 

Au nom de millions d'anciens malades en France privés de bon nombre de leurs libertés parce que leur statut immunologique particulier n'est pas encore reconnu par la puissance publique, nous déposons par l’intermédiaire de nos avocats parisiens, Maîtres Diane Protat et Henri de Lagarde, une requête auprès du Conseil d'Etat pour obtenir la suspension ou modification des mesures de confinement qui touchent aveuglément l'ensemble de la population sans aucun discernement de statut immunologique.

 

Pour contacter notre Association:

- Email: info@anciensmaladescovid19.fr

- Adresse postale: 11 rue Tiphaine, 75015 PARIS.

- Téléphone: 01 45 77 60 62